1- EBSD
(identique au TD dispensé en niveau 2)
| L'EBSD, technique en constante
expansion depuis plus de 15 ans a atteint une certaine maturité depuis
quelques temps tout en continuant à évoluer (logiciel, équipement et
développements associés : intégration multi-analyses, haute résolution).
Au cours du TD nous présenterons l'ensemble d'un système tant à
l'extérieur qu'à l'intérieur de la chambre ainsi que les différents
détecteurs associés possibles.
Puis nous définirons les éléments nécessaires minimaux à l'indexation
d'une ou plusieurs phases et à l'acquisition des données. Ensuite nous
réaliserons une ou des acquisitions caractéristiques de courtes durées.
Enfin, nous réaliserons avec ces données quelques analyses à l'aide de
différentes représentations possibles (cartes, graphes, figures de
pôles, joints de grains, etc.) et exploiterons ces données
succinctement.
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2- MEB-FIB
(identique au TD dispensé en niveau 2)
+ selon disponibilité de l'équipement
| Commercialisés dans les années 1980
pour répondre aux besoins de l’industrie des semi-conducteurs (analyse
de défauts et modification des circuits intégrés), les MEB-FIB sont
actuellement utilisés dans différents domaines des matériaux, en
recherche et développement.
Cet équipement combine un faisceau d’électrons hautement résolu et un
faisceau d'ions focalisé (FIB) à haute brillance qui utilise une source
d’ions à métal liquide de gallium. L’usinage par faisceau d’ions est
donc contrôlé en temps réel grâce à l’imagerie électronique, et la zone
usinée est localisée avec précision. Le MEB-FIB est souvent équipé de
micromanipulateurs, permettant la manipulation d’objets, et d’un
système d’injection de gaz de natures différentes.
Le MEB-FIB est une véritable plate-forme expérimentale permettant, à
une échelle nanométrique, des dépôts localisés sous faisceau d’ions et
d’électrons (dépôt CVD), des usinages et gravures ioniques, la
succession d’abrasions ioniques et d’acquisitions d’image ou
cartographie X ou EBSD permettant la reconstruction 3D du volume de
matière abrasé.
Ce TD permettra aux stagiaires de découvrir les différentes potentialités de cet équipement.
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3- MEB à Pression Contrôlée (identique au TD dispensé en niveau 2)
| Dans un microscope à pression contrôlée, il existe différents types de détecteurs :
- Le détecteur d’électrons rétrodiffusés dont le fonctionnement ne tient pas compte des interactions électrons-gaz
- Les détecteurs que l’on peut qualifier de type pseudo-secondaire
comme le détecteur à amplification gazeuse, développé et employé dans
le microscope environnemental (ESEM), le détecteur à courant
échantillon et le détecteur VPSE qui sont principalement utilisés dans
les microscopes électroniques à balayage du type VPSEM, CPSEM et Low
Vacuum SEM). Ces détecteurs, dans leur principe de fonctionnement, vont
dépendre de l’interaction gaz-électrons. L’opérateur dispose donc en
plus des paramètres classiques (choix de la tension d·accélération, de
la distance de travail, taille de sonde) d’un paramètre supplémentaire
qui est la pression.
L’objectif de ce TD est l’étude de l’influence de l’interaction
électrons-gaz sur le fonctionnement des différents détecteurs en
présence de gaz dans la chambre d’analyse. Ainsi, seront traités
l’ajustement de la pression de consigne pour l’élimination des
phénomènes de charges, les différences entre l’imagerie avec le
détecteur d’électrons rétrodiffusés et l’imagerie avec le détecteur de
pseudo-secondaires pour l’observation d’échantillons isolants et
faiblement hydratés, l’influence de la nature du gaz.
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4- Cartographie spectrale EDS
| Les
cartographies EDS sont des images en couleur ou éventuellement en
niveaux de gris, permettant de mettre en évidence la répartition des
éléments composant un échantillon.
Après un rapide descriptif des paramètres d'acquisition mis en jeu, des
exemples d'application mettront en évidence les différents types de
cartographies qu'il est possible de réaliser (cartographies en régions
d'intérêt et cartographies semi-quantitatives).
Ce TD mettra un accent particulier sur l'acquisition des images
spectrales ainsi que leur traitement ultérieur. Quelles sont les
données qui peuvent être extraites d'une cartographie spectrale?
Quelles sont les limitations de cette technique? Des réponses seront
apportées au travers d'exemples pratiques.
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5- EDS sur MEB à Pression Contrôlée
| L’introduction du gaz affecte la résolution en
microanalyse X par l’apparition de signaux parasites issus de la
contribution de zones autres que celle qu’on souhaite analyser. Cette
interaction électrons-gaz va se traduire principalement par trois
effets qui sont :
- un élargissement du faisceau appelé " beam skirt " qui va induire une perte de résolution spatiale.
- une excitation du gaz qui va générer une émission d’électrons et de photons X
- un effet d’absorption des photons émis lors de l’interaction électron-gaz due à la présence du gaz.
L’objectif de ce TD est de mettre en évidence les différents effets
induits par l’introduction du gaz dans la chambre du microscope en
particulier :
- Etude de la perte de résolution spatiale.
- Etude de la contribution atmosphérique.
- Discussion des effets
- Proposition de solutions
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6- Echantillons fragiles et isolants
| L’observation et la microanalyse de ces
matériaux dans un MEB présentent des caractéristiques liées à leurs
propriétés : effet de charge, détérioration sous le faisceau, manque de
contraste, etc.
Quelques échantillons représentatifs (polymères, matériaux composites,
papier, etc.) seront observés lors de cette séance, afin d’attirer
l’attention des stagiaires sur leurs particularités, et les limitations
résultantes. L’incidence de paramètres tels que la pression dans la
chambre du microscope, le type de détecteur et la tension
d’accélération sera commentée.
On montrera aussi les avantages apportés par les microscopes à pression variable ou à chambre environnementale
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7- Cryo-microscopie | La
cryo Electro-Microscopie, à balayage (MEB) est largement utilisée pour
la caractérisation des échantillons biologiques ou d'autres matériaux
avec une forte teneur en eau. Nous nous proposons dans ce Td de montrer
une séance type de cryo microscopie MEB sur un gel agar
constitué de 99% d’eau.
Afin de bien comprendre les enjeux de cette technique la séance se déroulera en plusieurs étapes.
- Congélation des échantillons à l’aide d’azote liquide ou pâteux.
- Insertion de l’échantillon dans le microscope
- Fracture de l’échantillon sous vide, avec et sans sublimation
- Métallisation
- Observation .
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8- Biologie | Observation d'échantillons biologiques dans tous les modes de vide dans la chambre:
Mode ESEM: Végétal frais (feuilles, tiges, fleurs); moisissures.
Mode Low Vacuum: Insectes, stripping de peau, spores de champignons.
Mode Haut vide: Tissus biologiques préparés.
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9- Métallisation, préparation d'échantillons
| Dans
ce TD seront tout d'abord rappelés les artéfacts d'imagerie et
d'analyse liés à l'observation d'échantillons non conducteurs dans un
MEB. Il sera ensuite discuté de l'utilité de la métallisation. Les
différentes techniques de métallisation d'échantillons seront
présentées : dépôts de carbone par tresses ou crayons, évaporation sous
vide par effet Joule ou par canon à électrons, pulvérisation cathodique
(sputtering), pulvérisation magnétron, pulvérisation par canons à ions.
Il sera aussi discuté du choix des matériaux déposables, de l'épaisseur
à déposer et de la mesure de cette épaisseur de dépôt... Le TD se
terminera par la réalisation de dépôts par différentes techniques.
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10- Essais mécaniques in-situ
| L’objectif de cette séance de travaux pratiques
sera de montrer à l’utilisateur l’intérêt du couplage MEB et platine de
traction. Pour ce TP découverte, nous utiliserons donc une platine de
traction de 5kN installée dans un microscope environnemental FEG Quanta
(400F) de chez FEI. L’essai de traction mécanique réalisé sur un
composite céramique modèle permettra de mettre en avant les mécanismes
de rupture de ce type de matériaux. Nous y suivrons notamment
l’apparition des fissures. Puis, en fin de TP, nous évoquerons
l’analyse des images à travers des exemples de mesures réalisées au
laboratoire.
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11- Nanoindentation (hors MEB) | La
nanoindentation (ou indentation instrumentée) est une technique de
caractérisation mécanique des matériaux. Elle permet de sonder la
surface du matériau afin de déterminer son module d'élasticité et sa
dureté.
Appliquée aux matériaux composites, la nanoindentation permet de
mesurer les propriétés des différents constituants du matériau et peut
également être utilisée pour évaluer l'intensité de la liaison
fibre/matrice en effectuant des essais de push-in ou push-out, qui
consistent à pousser une fibre jusqu'à rupture de la liaison.
L'objectif du TD consistera en une présentation et une démonstration de ces techniques.
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12- Echantillons stratifiés
| Ce TD a pour but de montrer les possibilités et
les limites de cet outil d’analyse dédié à la détermination de la
composition et de l’épaisseur massique des échantillons hétérogènes en
profondeur. Développée au début des années 1990, cette méthode
d’analyse des échantillons stratifiés a été adaptée des modèles Φ(ρ.z)
définis initialement pour les échantillons homogènes en composition.
Le principe consiste à mesurer, à différentes tensions d'accélération
des électrons, l'intensité du signal caractéristique des éléments
présents dans les différentes couches et le substrat. Les Kratio
(Ix/Istd) ainsi obtenus sont ensuite introduits dans le logiciel
spécifique StratagemTM afin de calculer la composition et l'épaisseur
de(s) la couche(s).
Seront présentées les spécificités de l’analyse X des échantillons
stratifiés (sensibilité à la surface, analyse de couches enterrées,
analyse d’un même élément avec plusieurs raies caractéristiques).
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13- MEB-STEM | Ce
TD a pour but de présenter les potentialités d'avoir un détecteur STEM
(Scanning Transmission Electron Microscope) dans un MEB. Ce détecteur
dédié permet de réaliser des images en transmission. Suivant les
modèles existant, nous pourrons montrer l'obtention d'une image en
champ clair correspondant à une image en électrons transmis direct et
en champ sombre correspondant cette fois-ci aux électrons transmis mais
diffusés. Cette imagerie en transmission, réalisée dans un MEB, est une
image à « basse tension » (de quelques kV à 30kV) par rapport à une
image en transmission dans un MET (>100kV). Une discussion sur les
contrastes sera abordée. Observer un échantillon mince par STEM-MEB
peut aussi conduire à mener des analyses chimiques avec une résolution
spatiale améliorée. Ce TD sera construit autour de l'observation de
quelques échantillons permettant d'aborder ces différents points.
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14- Introduction à la MET
| Le TP sera réalisé sur un MET haute résolution JEOL 2200FS.
La théorie de l’EELS sera rapidement présentée (diffusion inélastique).
Le filtre « Oméga » in column sera aligné.
A travers différents types de matériaux (carbone diamant et graphène,
matériau pour batterie ou nanomatériau), il pourra être abordé :
- les cartographies d’épaisseur (diffusion multiple ?),
- l’acquisition de spectres EELS (0-loss, plasmons et seuils de haute énergie),
- le traitement des spectres EELS : semi-quantification EELS et détermination du degré d’oxydation,
- les images filtrées en énergie,
- les cartographies chimiques EELS.
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15- AFM | Au cours de cette démonstration, nous allons décrire
le fonctionnement d'un microscope AFM et évaluer ses possibilités
ainsi que ses limitations. Nous verrons qu'il permet d'accéder
à des informations physiques de la surface de l'échantillon mais
aussi à d'autres informations.
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16- WDS sur MEB
| Les interactions électrons-matière
intervenant dans un microscope électronique génèrent l’émission de
rayons X caractéristiques des transitions électroniques de l’atome
émetteur. Sur la plupart des MEB et des MET, la détection de ces
rayonnements est effectuée par spectroscopie de rayons X par dispersion
d’énergie (détecteur EDS : Energy Dispersive X-ray Spectroscopy).
Cependant, les microsondes électroniques, ainsi que certains MEB,
utilisent la spectroscopie par dispersion de longueur d’onde
(Wavelength Dispersive X-ray Spectroscopy) pour les différents
avantages qu’elle présente, en termes de résolution spectrale
notamment. Au cours de ce TD, nous aborderons les différents aspects de
l’analyse WDS, que nous illustrerons par des applications pratiques.
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17- MEB Raman
| Le TD porte sur l’utilisation conjointe de la
spectroscopie optique et de sondes électroniques. On s’intéresse en
particulier au couplage spectroscopie Raman / MEB / EDS. Le TD débute
par une courte présentation de la diffusion Raman complétée par
quelques aspects technologiques sur l’interface permettant d’acquérir
la diffusion Raman dans un MEB. L’intérêt de ce couplage original est
ensuite illustré par quelques applications traitées au sein de notre
institut de mécaniciens et de thermiciens.
Au cours du TD, on évoquera bien sûr les difficultés opératoires que
l’on peut parfois rencontrer avec ce type de couplage ainsi que les «
astuces » utilisées pour tenter de s’en affranchir, au moins
partiellement.
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18- Microfluorescence X dans un MEB | Lors
de ce TD au choix, une description physique d’un système de
microfluorescence X installé dans un MEB sera faite, en particulier son
optique : tube à rayons X, polycapillaire et alignement. Puis nous
comparerons la microfluoX à l’analyse EDS : sur un ou deux
échantillons, la même zone sera analysée avec les deux techniques et le
traitement quantitatif des spectres sera effectué. Nous illustrerons
ainsi les possibilités spécifiques du système, notamment en ce qui
concerne la détection et l’analyse de traces.
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19- Cathodoluminescence | Ce
TD se déroulera sur un microscope de type FEG équipé d’un système de
cathodoluminescence (CL) adapté à la détection des photons dans la
gamme spectrale 250-1000 nm. Nous observerons deux échantillons
semi-conducteurs assez différents l’un de l’autre: le premier contient
des boîtes quantiques de GaN et des couches épitaxiées d’AlGaN, tandis
que le second est simplement constitué de nanobaguettes (nanorods) de
ZnO.
Après avoir décrit le système de collecte/détection et la formation de
l’image CL, nous montrerons que l’influence de la tension
d’accélération du faisceau sur les spectres CL ainsi que sur les images
polychromatiques et monochromatiques dépend de l’échantillon étudié.
Ceci illustrera le fait que la structure électronique de l’échantillon
intervient de façon primordiale dans le signal CL collecté.
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20- Diffraction des RX sur monocristal : de l'expérience à la structure cristalline | Cet
atelier se déroulera sur l’un des appareils du centre de diffraction X
de l’ICMCB et sera animé par un spécialiste de la résolution des
structures cristallines. L’objectif sera de comprendre, par la
pratique, les possibilités et les limites de la diffraction X sur
monocristal en évoquant des complémentarités avec la microscopie
électronique. Tout d’abord, les participants seront amenés à lancer une
collecte des intensités diffractées en réalisant le protocole complet :
centrage du cristal, évaluation de sa qualité diffractante, maille
préliminaire, choix des paramètres de collecte. Dans une seconde
partie, il leur sera montré la résolution d’une structure cristalline à
partir d’un ou plusieurs jeux de données. Dans les deux parties, les
difficultés potentiellement rencontrées mais aussi l’importance des
choix faits par l’expérimentateur seront évoquées au cours d’une
discussion informelle. Aucune notion préalable n’est nécessaire pour
participer à cet atelier.
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21- Spectroscopie à décharge luminescente | La
GD-OES ou SDL (Spectroscopie à Décharge Luminescente) permet une
caractérisation chimique multi-éléments rapide, jusqu’à 150 microns de
profondeur, des surfaces et interfaces de matériaux solides organiques
ou inorganiques, conducteurs ou isolants. La présentation de la
technique se fera sur GD-PROFILER 2 (Horiba-Jobin Yvon) par
l’acquisition d’un profil type « Intensité/temps d’érosion » et son
exploitation en profil « % atomique/microns ».
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22- Introduction à la tomographie X
| Caractérisation non-destructive 3D. Présentation
des principes de la méthode (interaction des rayons X avec la matière,
séquence de mesures, algorithmes de reconstruction, notion de voxel,
...) et des différents types de scanner disponible (médical, industriel
et synchrotron). Présentation d'un scanner industriel dans les locaux
de PLACAMAT. Illustration à l'aide d'exemples des différents domaines
d'application: matériaux (structure, composite, métallique, géo
matériaux, ...), archéologie/anthropologie, biomécanique, médical, CND,
etc.
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23- Microscopie Auger
| Objectif : Montrer les possibilités de la spectrométrie Auger
Le faible parcours moyen des électrons Auger émis sous excitation
électronique permet d’obtenir une analyse chimique sur quelques nm de
profondeur. Couplé à une bonne résolution latérale, voisine de celle du
faisceau d’électron incident (10 nm), la nanosonde Auger offre la
meilleure résolution spatiale sur les échantillons massifs. Des
exemples seront montrés sur des applications telles que profils en
profondeur, profils en lignes, changements de phase, cartographie.
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24- Spectroscopie XPS | La
technique d’analyse d’extrême surface XPS sera abordée sur
l’appareillage K-ALPHA (ThermoFisher Scientific). Les aspects
techniques (ultravide, RX,…) seront évoqués, de même que la préparation
des échantillons. Une acquisition type de spectres généraux et haute
résolution sera effectuée. L’exploitation des données permettra de
saisir les notions d’information qualitative, semi-quantitative et
d’environnement chimique découlant d’une telle analyse.
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25- MEB de table
| Quelques potentialités concernant ces microscopes seront présentés sur différents équipements disponibles.
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