Décélération de faisceau en MEB.
Sylvie DESCARTES1, Xavier JAURAND2, Pierre ALCOUFFE3, Annie MALCHERE4, France SIMONET5
[1] Univ Lyon, INSA-Lyon, CNRS, LaMCoS UMR 5259, F-69621 Villeurbanne cedex
[2] Univ Lyon, Centre Technologique des Microstructures - CTμ, UCBL, F-69622 Villeurbanne cedex
[3] Univ Lyon, UCBL, INSA Lyon, UJM, CNRS, IMP UMR 5223, F-69622 VILLEURBANNE cedex
[4] Univ Lyon, INSA-Lyon, UCBL, CNRS, MATEIS UMR 5510, F-69621 Villeurbanne cedex
[5] Univ Lyon, CNRS, Université de Lyon 1, IRCELYON UMR5256, F-69626 Villeurbanne cedex
Quelques principes de base pour la décélération de faisceau seront
expliqués. La décélération de faisceau consiste à conserver le faisceau
d’électrons à une haute énergie dans la colonne et il est décéléré pour
arriver sur la surface de l’échantillon à faible énergie. La
décélération peut se faire au niveau de l’échantillon ou en bas de la
colonne. Ainsi on peut distinguer 3 types de lentilles :
- Lentilles classiques avec possibilité de décélération par polarisation de l’échantillon
- Lentilles à immersion (l’échantillon est dans le champ
magnétique de la lentille), avec possibilité de décélération par
polarisation de l’échantillon.
- Lentilles « hybrides » (magnétique et électrostatique),
avec décélération en bas de colonne et aussi éventuellement par
polarisation de l’échantillon.
La décélération de faisceau permet d’augmenter la résolution de l’image
aux faibles tensions d’accélération en réduisant la taille finale du
spot du faisceau d’électrons. Cet exposé discutera des avantages ou
inconvénients de la décélération.
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